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père et fille

père et fille

Le mois dernier, nous avons fêté les mamans. Ce mois-ci c’est le tour des papas. Le dimanche 17 juin, c’est la fête des pères en France.

A MyHeritage nous aimons célébrer les événements qui réunissent les familles, et selon nous, une des meilleures façons de le faire est de se remémorer des histoires de famille.

Nous aimerions savoir ce qui rend votre père unique. Avez-vous des souvenirs particuliers qui ont marqué votre votre enfance et/ou votre vie avec votre père ? Une promenade à la plage ou dans un parc ? Un repas de famille ? Ou bien un jeu ?

Nous sommes à la recherche de la plus belle histoire et/ou de la plus belle photo et nous offrirons au gagnant une année en Premium sur MyHeritage !

Nous vous invitons à nous les envoyer sur Facebook, Twitter et Google+, et ce jusqu’au dimanche 17 juin. Nous publierons le nom du gagnant ou de la gagnante lundi 18 juin.

Si vous êtes un père et que vous voulez partager une histoire ou une photo avec vos enfants, vous pouvez aussi le faire !

Ceci est ouvert à tous, n’hésitez pas à nous envoyer votre histoire ou votre photo, même si la fête des pères est célébrée un autre jour dans votre pays.

Commentaires

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  • Joël

    14 juin 2012

    Mon père, qui est cet homme que je n’ai connu que le jour de ma naissance alors que lui avait déjà vécu presque 44 ans ?
    Je suis le treizième enfant de la famille, de cette famille dont ma grand-mère maternelle demanda à mon père  » dite moi Jean combien désirez vous d’enfants ? Treize à la douzaine belle-maman » et ce qui fut dit fut fait.
    Papa tu as traversé ta vie de soixante dix ans en bouleversant un peu voir beaucoup les principes de la bienséance, ta vie a commencé en 1908, période sommes toutes assez calme dans une famille qui t’a aimé, choyé de tes parents et de tes grands-parents dont ton grand-père que tu n’as que très peux connus mais ta grand-mère qui est restée proche de toi chez tes parents jusqu’en 1922 pour partir finir sa vie chez ta tante que toi seul connaissait l’existence si bien que mais douze frères et sœurs ignoraient l’existence .
    Ta carrière professionnelle tu l’as commencé dès l’âge de douze ans puis tu as quitté tes parents pour parfaire ton apprentissage afin d’être près pour reprendre la succession de ton père ce bourreau de travail, mais pour réussir dans sa vie familiale comme professionnelle, ne faut il pas parfois se surpasser, si bien que tu es devenus un excellent ouvrier, à la fois passionné par son métier de menuisier que par ta seconde passion la musique, et c’est ainsi que tu as connus «mademoiselle Mouton » professeur de musique chez qui tuas connus ma mère « la belle Raymonde » que te donneras treize enfants, comme quoi tu n’as jamais rechigné à la tâche en tous domaines
    Tu traverseras les affres de la vie en courbant l’échine, certes, mais toujours pour ta famille car même en période de difficultés tu as fait le maximum pour assurer le bien-être, que ce soit sécurité alimentaire, un toit pour tous, comme sécurité tout cour surtout en période de guerre, alors que une bonne partie la famille était conçue, tu n’as pas hésité à courir sous les bombes dans les gares pour essayer de grappiller un peu de nourriture au milieu de cette gabegie pour assurer le minimum vitale à la survit de ta progéniture.
    Certains diront que tu n’as pas été un père facile, mais la vie est elle facile, je me rappel mes premiers Noël d’enfants qu’ils étaient féériques avec ce grand sapin tout de couleur vêtues avec ses bougies et au pied de la Crèche, nous avions étalés nos sabots astiqués fraichement de la vieille, et donc au pied de se sapin nous avions de « Dates, des figues, des macarons, et pleins d’autre bonnes choses que nous n’avions que ce jours « si particulier » et bien sur il y avait nos jouets si nous avions été sage et parfois un martinet s’était glissé subrepticement pour nous rappeler de bien nous tenir.
    J’ai été dans l’atelier de la menuiserie dès l’âge de cinq ans et j’ai pu voir que sous la carapace de ce bonhomme bourru il y avait un homme qui voulait toujours bien faire car amoureux de son métier que même les accidents de la vie et du travail ne stoppaient pas
    Pour certains tu as laissé le souvenir d’un homme rustre, parfois violent, mais tous te reconnaissent ton dévouement pour ta famille, certes tu n’as pas beaucoup joué avec moi mais je ne t’en veux pax car tu as su me défendre quand des injustices m’ont atteintes
    Moi à mon tour je suis Papa de quatre enfants et je ne suis pas sur de leur avoir donné les bonnes bases mais la vie est ainsi faite et j’ai vécu un autre période avec toi vieillissant avec ton lot de maladies qui ne ton pas épargnées, tu nous a quitté en début décembre 1978 et que tu as été voir « Joseph » et que vous avez fait un bel escalier comme tu en avait le secret
    Pour tout ça Papa je te dis « je t’aime et je pense à toi »