MyHeritage ADN m’a aidé à retrouver mon vrai grand-père
- De Anders Bergenek, de Suède ·


Anders Bergenek, utilisateur suédois de MyHeritage, soupçonnait que son père n’était pas biologiquement lié à l’homme qu’il connaissait comme son grand-père. Grâce à des recherches minutieuses et à des tests ADN, il a pu non seulement confirmer ce soupçon, mais également identifier son grand-père biologique et se connecter avec sa famille – grâce aux correspondances qu’il a reçues via MyHeritage.
Voici son histoire :
Il y a environ 25 ans, lorsque ma fille était adolescente, elle a commencé à remarquer à quel point mon père, Inge, était très différent de son frère et de sa sœur.
« C’est comme s’ils n’étaient pas frères et sœur », disait-elle.
Je lui ai révélé que ma grand-mère Elin n’avait épousé son mari Carl qu’un an après la naissance de mon père Inge, ce qui implique qu’il avait peut-être eu un père différent. Ma fille a trouvé cette idée très excitante et nous avons décidé de voir si nous pouvions confirmer nos soupçons. Ensemble, nous avons commencé à parcourir les registres de l’église et les journaux de la sage-femme. Dans les deux sources, le père était répertorié comme inconnu à la naissance. Mon père était décédé alors, mais son frère et sa sœur étaient toujours là, et tous deux étaient sceptiques quant au fait qu’Inge ait pu avoir un père différent.
Lorsque ma femme a commencé à faire de la généalogie en 2014, je l’ai rejointe à une conférence de la Journée de la généalogie à Nyköping, en Suède. Là, j’ai décidé de faire un test ADN pour voir si cela m’aiderait à retrouver mon grand-père. Les résultats ont montré un correspondance élévée avec ma sœur, puis de nombreuses correspondances éloignées qui ne m’ont donné aucune piste.
En 2015, lorsque j’ai pris ma retraite, j’ai rencontré une collègue qui était apparentée à mon grand-père Carl, mais pas à ma grand-mère Elin. Nous avons parlé de nos liens de parenté et je lui ai suggéré de faire un test ADN pour voir si nous étions réellement apparentés. Elle accepta volontiers. Le résultat du test confirma que notre ADN ne correspondait pas.
Cela a confirmé que Carl n’était pas mon grand-père biologique.
Alors si ce n’était pas Carl… qui était-ce ?
Mes sœurs et moi avons commencé à creuser et à trouver des idées sur qui pouvait être notre vrai grand-père. Lorsque nous avons trouvé une piste possible, nous avons recherché les proches de cette personne et leur avons demandé de faire un test ADN. De cette façon, nous avons testé une amie d’enfance de ma grand-mère, un employeur pour lequel elle avait travaillé comme femme de chambre, et un prêtre qui ressemblait à mon grand-père sur une photo. Aucune de ces personnes ne nous correspondait.
Pour Noël 2019, j’ai décidé de m’acheter un test ADN MyHeritage comme cadeau de Noël. Le résultat était intéressant : il y avait une correspondance de 3,3 % (235 cm) avec une femme plus jeune aux États-Unis (« A »), et une autre correspondance légèrement plus faible — 1,7 % (120 cm) située en Angleterre (« B »). J’ai écrit à ces deux femmes et à quelques autres. « A », qui vivait en Floride, n’avait aucune connaissance d’une éventuelle origine suédoise. C’était frustrant, il n’y avait pas d’émigrants connus du côté de ma mère ou de mon père.
Début février 2021, j’ai reçu un email via MyHeritage de « B » en Angleterre. Elle s’est excusée d’avoir mis un an à voir mon message, mais elle était certaine que nous étions apparentés. Elle descend d’August Olsson de Halmstad, qui a émigré en Angleterre à la fin du XIXe siècle. Ma femme, qui est généalogiste, l’a recherché dans les registres paroissiaux et a également trouvé les noms de ses parents et de ses frères et sœurs. Les résultats correspondaient à ce que ma sœur avait déjà découvert à propos d’une correspondance ADN américaine (« C »).
À ce stade, j’ai décidé de prendre un abonnement à MyHeritage afin de pouvoir approfondir mes recherches sur d’autres arbres généalogiques. J’ai appris que le père de « A » s’appelait aussi Olson. La correspondance avec « C » du test ADN que j’avais fait en 2014 est redevenue pertinente avec les ancêtres d’Olson lorsque nous avons examiné de plus près leurs arbres et trouvé un lien avec Halmstad. Maintenant, il ne faisait aucun doute que nous étions sur la bonne voie : ma sœur avait fait des recherches sur « C » un an plus tôt, mais ne pensait pas pouvoir les relier à notre grand-père biologique.
J’ai écrit à « C » et lui ai dit que nous étions probablement liés. Il m’a répondu rapidement et m’a dit qu’il descendait aussi de Gustaf Samuel Olsson. Je lui ai parlé de ma correspondance avec « A » et je lui ai demandé s’il la connaissait. Il ne la connaissait pas, mais le lendemain, il a découvert que le père de « A » était un descendant de Simon Olson, le neveu de Gustaf Samuel. Simon et ma grand-mère Elin vivaient à Halmstad en 1910 quand Elin est tombée enceinte de son premier enfant. Il a émigré aux États-Unis en janvier 1911, 6 mois avant la naissance de mon père. Tous les frères et sœurs de Simon avaient déjà émigré aux États-Unis auparavant. Tous les signes semblaient pointer vers Simon.

Photo de Simon Olson sublimée et colorisée avec les outils photo de MyHeritage. Voyez l’incroyable différence !
Un peu de temps avant, j’avais posté une question sur Facebook dans un groupe local de Halmstad demandant si quelqu’un connaissait la famille Olson, en fournissant quelques détails supplémentaires que j’avais trouvés à leur sujet. J’ai reçu une réponse d’une femme à Halmstad qui avait fait des recherches généalogiques sur la famille Olson. Je lui ai dit qu’on avait une piste avec Simon Olson. Elle s’est tue, puis a dit : « Eh bien, Simon c’était l’oncle de mon mari. Je l’ai rencontré à quelques reprises.»
Son mari a accepté de passer un test ADN MyHeritage, et ses résultats ont révélé une correspondance de 6,3% (448,5 cM) – confirmant qu’il était un cousin de mon grand-père biologique.
Cela a été un voyage de 6-7 ans qui a demandé beaucoup de travail acharné, de patience et d’humilité. Nous nous sommes heurtés à des murs tout au long de nos recherches, mais nous n’avons jamais cessé de croire que nous pourrions trouver qui nous cherchions : notre grand-père biologique, Simon Olson (1891-1964).
Tout au long de ce processus, nous avons rassemblé des informations à partir de nombreuses ressources, et toutes ont joué un rôle important dans l’atteinte de notre objectif. Cependant, ce sont les correspondances ADN que nous avons reçues via MyHeritage qui nous ont finalement permis de lever le mystère.
Aujourd’hui, grâce à nos découvertes, nous entretenons des relations avec de nouveaux parents et connaissances en Suède et aux États-Unis, acquises tout au long de ce voyage magnifique mais difficile.
Merci, MyHeritage.