Magnifique histoire ! Je découvre le nom du Président de My Heritage, Gilad Japhet, en même temps que son humanité.
Les gens un peu bornés pensent souvent que ceux qui réussissent socialement sont dépourvus de coeur. C’est une pensée qui vient surtout de l’envie que suscite cette différence de destin…
Donc Merci à Monsieur Gilad Japhet d’oeuvrer avec une telle performance pour My Heritage.
My Heritage, au delà de notre plaisir personnel à remplir les cases manquantes de nos filiations, redonne vie à ces êtres dont la mémoire s’est perdue à travers les siècles. My Heritage n’est pas seulement une entreprise qui réussit, elle donne accès à une sphère que l’on pourrait dire métaphysique de notre condition humaine. Merci !
J’ai moi-même, grâce à ce site, découvert peut-être pourquoi mon noble ancêtre, Grenadier de France sous Louis XV et Chevalier de Saint-Louis, avait laissé si peu de traces ; tandis que mon aïeule, qu’il avait épousé en 1786 à cinquante ans à Figeac en Dordogne, descendait d’une famille remontant au XIII ème siècle, dont on trouve trace dans les ouvragesdédiés.
Je pensais donc qu’il avait été plus ou moins banni par la haute société dont il faisait partie.
Des années de recherches…
J’ai découvert il y a bien deux ans un extrait d’un mariage précédent en 1773 à côté de Saint Malo dont il défendait la place forte contre les Anglais. L’épouse était de grande lignée malouine et irlandaise.
Et voilà qu’hier même, My Heritage me propose un document sur cet ancêtre : il s’était déjà marié auparavant, en 1769, toujours avec une « demoiselle de », en Corrèze, soit trois mariages, alors qu’il avait perdu un bras à la bataille de Minden en 1759 à 23 ans ! Un sacré manchot ! Un grand séducteur semble-t-il…
J’ai décrypté le document d’archive correspondant au relevé que m’a communiqué My Heritage : le lieu du mariage et le nom des témoins me permet de pousser mes recherches plus loin pour reconstituer cette branche mystérieusement occultée, comme si mon cher ancêtre avait été considéré commun un mauvais sarment de vigne à couper…
La difficulté est que les patronymes de l’époque ont une orthographe souvent phonétique et donc variable. De plus mon ancêtre a utilisé ses trois prénoms selon les circonstances.
Il aurait pu avoir un frère qui aurait été lui aussi Grenadier de France, mais voilà : en ce cas il aurait lui aussi figuré dans les registres de l’époque comme bénéficiaire de différentes rentes royales pour son « Service au roi » ; or c’est toujours le même et seul qui y figure, ainsi que sa dernière épouse mon aïeule qui bénéficiait d’une rente douaIrière, eut égard aux Services de son mari et par contrat de mariage.
Bien entendu je suis preneur de toute information sur cet aïeul direct qui serait né et mort à Sarlat La Canéda en 1736, mais je n’ai pas trouvé d’archive, elles existent sûrement mais je ne suis pas une pro…
Mathurin François Jean de Vayssière (Veyssière, parfois avec un s final, ou même Veissière ou Vaissière etc) de Palomière, (parfois de Palonnière) de Bonnefons ou Bonnefont avec un t selon le cas.
Ses armes selon la chevalière de mon grand-père dont j’ai l’empreinte de cire, se blasonnent à peu près ainsi : « d’Or au Chevron de Gueules à deux étoiles de Sinople en Chef et un coudrier terrassé de même en pointe ». Le coudrier se dit « Vaysse » en Occitan.
Papa, peu mondain, a laissé tous les papiers à son frère cadet il y a longtemps , et tout est perdu aujourd’hui…
Les branches diverses des Vayssière sont nombreuses. J’en ai trouvé une qui porte étoiles de Sinople en chef. Mais j’ai encore beaucoup de recherches à faire, et serais ravie de toute aide…
Nom du père : Etienne de Vayssière, seigneur de Bonnefont
Nom de la mère : Catherine de Gerard
Grâce au document trouvé hier par My Heritage, j’ai découvert que c’est le père de la 1ère épouse qui était “seigneur de Palomière”. Le marié était “seigneur de Bonnefont” seulement. C’était donc un lieu et un bien apporté dans la corbeille de la mariée,comme ilse faisait…
Florent Richard
16 août 2022
Un tel article, dont le but premier est de présenter un des outils de MyHeritage, n’est pas seulement passionnant car il est riche et bien écrit.
Il démontre une volonté d’agir dans un intérêt à l’égard du genre humain, de la richesse de tous les horizons de son histoire, de l’importance que son savoir, ne soit pas uniquement basé et dépendant, ou restreint, par des vues uniquement liées à des intérêts d’ordre financier, et sans partage, tel qu’on le ressent au grand dommage de l’universel, en lisant les conditions générales particulières afférant par exemple au sujet de l’ADN et du test.
C’est une chose importante à ne pas négliger, et à continuer de valoriser, et pour laquelle on peut vivement remercier MyHeritage, son fondateur et PDG, monsieur Gilad Japhet, ainsi que l’ensemble des acteurs de ce formidable projet.
Cordialement à tous.