La généalogie selon Reimar Häuselmann, utilisateur suisse de MyHeritage

Dans le cadre de notre rubrique ‘Vos histoires’, ouverte à nos utilisateurs, nous vous emmenons aujourd’hui en Suisse. Reimar Häuselmann nous raconte sa passion de la généalogie. Invalide, il travaille depuis son lit afin de léguer l’histoire de la famille à ses enfants.

Reimar et son épouse Frida

Comment vous êtes-vous intéressé à la généalogie et à l’histoire familiale ?

Je suis venu à la généalogie pour laisser une trace à mes enfants. Je suis l’aîné de 8 enfants. J’ai eu le privilège d’avoir eu des grands-parents qui m’aimaient beaucoup. Depuis mon enfance j’admirais mon grand-père qui était charron, une profession qui n’existe plus en Suisse. Mon épouse est également de la nationalité Suisse. Son grand-père était le dernier chercheur d’or dans le massif du Mont-Blanc, en Italie. Son grand-père était d’origine Suisse alémanique. Selon mes recherches nous deux sommes originaire du même District dans le canton d’Argovie.

Jusqu’où êtes-vous remonté dans votre recherche ?

Pour le moment, ma généalogie remonte jusqu’en 1690 côté paternel, dans une ville qui s’appelle Lenzburg dans le canton d’Argovie.

Mes ancêtres sont commerçants (que j’ai aussi exercé), charron, tisserand, ouvrier, paysan.

Les grands-parents paternels de Reimar, Adolf et Frieda Häuselmann

Qu’aimez-vous sur MyHeritage ?

Dès le début j’ai été impressionné de toutes les prestations qu’offrent le logiciel Family Tree Builder. J’apprécie la possibilité de la sécurité, de pouvoir mettre des photos et films. Également la possibilité de pouvoir travailler à plusieurs personnes sur le même projet m’a beaucoup étonné. Il faut savoir, que je suis invalide et je ne peux plus me déplacer. Je travaille couché depuis mon lit.

Votre famille s’implique-t-elle dans votre recherche généalogique ?

J’ai 2 personnes de mes proches qui se connectent régulièrement, déposent des données et des photos.

Comme je l’ai mentionné plus haut dans mon histoire, je suis l’aîné de 8 enfants. Tous mes frères sont partis à l’étranger. L’un en Afrique du Sud, les autres au Canada, en Finlande, en Autriche, Costa Rica. Une de mes soeurs est partie maintenant avec son mari pour faire le tour du monde, etc.

Parlez-nous de vos recherches…

Je suis actuellement à 284 personnes dans ma généalogie, mais j’ai encore plusieurs documents à vérifier et à mettre sur le site. Mon but n’est pas seulement d’aligner des noms et adresses. Je souhaite également de comprendre la vie et l’environnement dans lesquelles mes ancêtres ont vécu. Le résultat, je le présente sous forme de films et de photos sur le site.

Par mes recherches j’apprends à connaître par téléphone, principalement, ma parenté et des personnes qui travaillent dans ces divers bureaux de l’Etat. Internet est devenu mon outil principal. Mon iPad me sert pour les recherches et mon ordinateur pour travailler les photos et films.

Grâce à mes recherches, j’ai découvert un historien, que je ne connaissais pas. Depuis nous travaillons ensemble sur mon arbre généalogique. Il s’avère que nous sommes de parenté via ma grand-mère.

Reimar avec sa femme et leurs deux enfants

La généalogie est un loisir qui occupe notre esprit. Lorsqu’on est invalide, cette occupation nous permet de contacter beaucoup de personnes. On a l’impression de ne pas être tout seul. Chaque semaine je dois aller à l’hôpital pour me faire soigner. Il est normal qu’on parle avec le personnel soignant. Je viens de rencontrer une secrétaire médicale qui cherchait une occupation. Je lui ai raconté de mon hobby de la généalogie. Elle vient de se mettre à la recherche de son arbre généalogique avec MyHeritage.

Un conseil pour nos lecteurs qui commencent leurs recherches ?

J’ai fait l’expérience qu’il faut beaucoup de patience. Il faut aussi se fixer un but, des objectifs et posséder des moyens nécessaires. Mais avec MyHeritage vous n’avez pas besoin de douter. C’est un logiciel super et une équipe de collaborateurs efficaces, que je souhaite ici remercier.