je suis très heureux de lire cette cette histoire sur les chevaux il a été magnifique comme mes chevaux que j’ai eu présentement moi et mon épouse on cherche une petite fermette pour avoir des chevaux je suis rendu a 70 ans j’en ai eu presque toute ma vie je n’ai pas fait de guerre mais je suis vétéran du Royal 22 e Régiment j’ai servit en Allemagne WERl au canada différentes province je suis du Québec CANADA
Centenaire 14-18 : le cheval que les Allemands ne pouvaient pas tuer
- De Elisabeth
Il y a quelques mois, nous avions mis à l’honneur avec une gallerie de photographies les chevaux qui ont participé à la Grande Guerre. Aujourd’hui c’est l’histoire d’un de ces chevaux que nous voulons mettre en lumière.
Si les chevaux ont joué un rôle incontournable durant la Grande Guerre, tout comme les hommes qui se sont battus, certains équidés se sont démarqués des autres. Le dernier conflit majeur qui eut recours à la plus noble conquête de l’homme a également ses héros sur quatre jambes.
L’un deux s’appelait Warrior, un nom prédestiné signifiant guerrier en anglais. Pendant que des millions de ces congénères déplacèrent les armes, les munitions et le ravitaillement dans l’anonymat (huit millions d’équidés moururent au cours du conflit), Warrior bravait les balles et les obus sous la selle du général britannique Jack Seely, qui l’appelait ‘le cheval que les allemands ne peuvent pas tuer’.
Pourtant général lui-même, son cavalier n’aurait certainement pas contredit Abraham Lincoln déclarant : ‘Je peux faire un général en cinq minutes mais un bon cheval est difficile à remplacer’.
Jack Seely (John Edward Bernard Seely, 1er Baron Mottistone), né en 1868, avait été membre conservateur du Parlement de 1900 à 1904, puis membre libéral du parlement dès 1904. Secrétaire d’État à la Guerre du 12 juin 1912 au 30 mars 1914, il fut le seul ancien ministre du cabinet à avoir participé au conflit de 1914 à 1918.
Avec son cheval Warrior, Seely, commandant de la brigade cavalerie canadienne, mena l’une des dernières charges de la cavalerie de l’histoire lors de la bataille du bois de Moreuil le 30 mars 1918. La victoire des Alliés sur les rives de l’Avre porta un coup d’arrêt à l’offensive du Printemps du général allemand Ludendorff.
Seely reçut de nombreuses distinctions au cours de sa vie. La France lui décerna la Légion d’honneur et la Croix de Guerre. Son cheval Warrior, connu pour sa bravoure sous le feu, a reçu à titre posthume une médaille le 2 septembre 2014 : la médaille Dickin, la plus haute distinction militaire réservée aux animaux, lors de la première guerre mondiale, qui a été remise à un petit-fils de Jack Seely.
Le cheval que les allemands ne pouvaient pas tuer mourut à l’âge de 34 ans en 1941. Son propriétaire et cavalier mourut en 1947.
Sastre
18 mars 2015
J’adore ce genre d’histoire. Malgré l’horreur de la guerre on se prend à penser que Warrior aida son maître durant le conflit. Mon père perdit le sien durant la guerre 40. Il en parlait toujours avec une grande émotion. Merci de nous permettre de lire ce style d’histoire.