Mamie, tu es partie bien trop tôt. Je n’ai pas vraiment eu la chance de te connaitre, j’étais encore petite. Je garde de toi, le souvenir d’une mamie aimante ! J’aurais beaucoup aimé passé de grands moments avec toi, j’aurais aimé écouter tes histoires, ta vie, déguster tes bons gâteaux ! J’aurais aimé te serrer dans mes bras et te souhaiter une joyeuse fête des grands-mères. De là-haut, tu me vois, je te souhaite une bonne fête et je t’embrasse très fort. Ta petite fille Pascale
Dimanche prochain, comme chaque premier dimanche du mois de mars, nous fêterons nos grands-mères. Pour ceux qui ont la chance de les avoir, c’est l’occasion de les appeler ou de leur rendre visite. Sinon, c’est l’occasion de se remémorer les beaux souvenirs que vous avez d’elles.
En ce mois de mars, mes deux grands-mères fêteront chacune leur anniversaire. Ma grand-mère paternelle fêtera ses 100 ans dans quelques jours, ma grand-mère maternelle aura 90 ans à la fin du mois. Mon arbre généalogique compte plusieurs centenaires, et c’est tant mieux pour les petits-enfants et les arrière-petits-enfants qui profitent de la douceur et de l’expérience des aînés. Et lorsqu’on aime écouter les vieilles histoires de famille, c’est toujours un plaisir de les entendre pour la énième fois !
Aujourd’hui, nous lançons notre nouveau concours sur le thème de nos chères grands-mères.
Pour participer, il suffit d’écrire dans les commentaires ci-dessous quelques lignes sur vos grands-mères. Libre à vous de les présenter, de raconter une anecdote ou de leur adresser un message. Le gagnant remportera un abonnement PremiumPlus de MyHeritage pour un an !
* Le concours se déroule jusqu’au lundi 3 mars et le gagnant sera informé le lendemain par courriel ; son nom sera également annoncé dans les commentaires. Le prix sera décerné à une personne ayant un compte sur MyHeritage.
Bonne chance !
Sautre Carole
24 février 2014
Je n’ai plus de grand-mère depuis presque 30 maintenant. Ma grand-mère maternelle étant décédée alors que n’avais que 4 ans et ma grand-mère paternelle alors que j’en avais 11.
Et je ne voyais pas souvent cette dernière, je ne peux donc pas parler d’elle.
Je n’ai malheureusement pas beaucoup de souvenirs personnels de mes grands-mères.
Je me souviens de ce que l’on m’a raconté et de ce que j’ai pu voir sur les photos.
Ma grand-mère maternelle était une très bonne couturière. Je sais qu’elle nous a fait, à ma soeur et moi, de nombreux habits (des jupes, des robes, des pulls, des gilets et même une combinaison de ski). Je revois plusieurs photos où on est, ma soeur et moi, habillées de la même façon grâce à notre grand-mère.
Je crois savoir qu’elle était bonne cuisinière aussi. Sauf que le jour où elle a voulu cuisiner de la cervelle, je sais que ça n’a pas été du goût de ma soeur, ni de mon grand-père… J’aime beaucoup entendre ma soeur raconter cette histoire.
J’aurais aimé la connaître plus, je crois que c’était quelqu’un de formidable.
Elle était Polonaise et son prénom était Bronislawa. Je n’ai plus de mal à le dire, ni à l’écrire depuis de nombreuses années aujourd’hui mais je me souviens que, pour simplifier, on l’appelait « Mémé Bronia ». En fait, tout le monde l’appelait Bronia, les petits-enfants ajoutaient juste « mémé ».
J’aurais aimé connaître mes grands-mères plus longtemps, j’aurais certainement, grâce à elles, compris certaines choses plus vite.
Je ne regrette pas la vie que j’ai et la personne que je suis, mais j’aurais aimé les connaître à l’âge adulte.
Au revoir Mémé Bronia. Au revoir Mémé Schoenecker.