Concours : rendez hommage à vos disparus

Concours : rendez hommage à vos disparus

Le weekend de la Toussaint, vous serez nombreux à vous rendre sur les tombes de vos défunts. Le jour de la Commémoration des fidèles défunts, appelée également Commémoration des morts ou jour des morts est dédié à cette tradition annuelle consistant à visiter la dernière demeure de nos chers disparus.

On s’y rend souvent avec d’autres membres de la famille, chargés des incontournables pots de chrysanthèmes. C’est presque toujours l’occasion de se souvenir des défunts en évoquant des anecdotes à leurs sujets. Pour les généalogistes (qui certes n’ont pas besoin d’attendre ce jour-là pour arpenter les cimetières), il est toujours bon de se joindre à cette visite familiale, pour partager ce qu’ils savent et pour en savoir encore plus.

Pour marquer ce moment important de notre vie familiale, nous vous invitons à écrire quelques lignes en guise d’hommage sur une personne disparue de votre famille  qui vous est chère.

L’auteur de la réponse qui sera sélectionnée recevra un abonnement annuel PremiumPlus de MyHeritage.

Écrivez votre hommage dans les commentaires ci-dessous.

* Le concours se déroule jusqu’au lundi 3 novembre  et le gagnant sera informé le lendemain. Le prix sera décerné à une personne ayant un compte sur MyHeritage.

Bonne chance !

Commentaires

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  • MATHIEUX

    15 octobre 2014

    Le meilleur hommage que je puisse rendre à mes parents, puisqu’il s’agit d’eux, qu’ils nous ont quitté il y a 29 et 25 ans, c’est tout simplement leur dire : MERCI ! Oui merci d’avoir fait de moi ce que je suis, certes pas parfaite, et de m’avoir montrer le chemin à parcourir pour réussir ma vie de femme, d’épouse (mariée avec le même homme depuis 42 ans) de mère (j’ai donné la vie 4 fois) et grand mère (3 petits enfants).
    Je voudrais aussi leur dire : JE VOUS AIME, que l’amour que je leur porte est toujours aussi fort sinon plus, leur cruelle absence en est surement la raison. Leurs âmes ne sont pas sous cette pierre au cimetière, mais en moi. Il n’est pas un jour où je ne pense pas à eux au moins une fois, sinon plusieurs, car il y a toujours une chose qui surgit : une chanson, un artiste, un film, un silhouette anonyme sur un trottoir et surtout les visages de certains de mes enfants qui leur ressemblent tant. Quand nous organisons des réunions familiales pour quelque motif que ce soit, ils sont avec moi, et j’ai toujours sur moi un objet leur ayant appartenu, de cette façon j’ai l’impression, qu’ils participent à notre bonheur comme autrefois !
    Maintenant je vais surement choquer bien des personnes, mais je dois avouer qu’il m’est impossible d’entrer dans un cimetière pour aller me  » recueillir  » devant cette pierre tombale glacée où figure leurs deux noms pour l’éternité. Je n’y peux absolument rien, et je pense ne pas être la seule dans ce cas, dès que je franchis la grille je me sens vidée, incapable de penser à quoi que ce soit, ni même à prier !
    Tout ce cérémonial de la Toussaint ce n’est pas pour moi, d’ailleurs à part les personnes qui s’y rendent régulièrement parce qu’elles en ont besoin, les autres qui n’y vont qu’une fois l’an, pour participer au petit concours de qui aura le mieux fleuri la tombe des siens, ce n’est qu’hypocrisie.
    Voila l’essentiel que j’avais à exprimer et je suis fière de mes parents, comblée par l’amour qu’ils m’ont donné, et je sais que je les retrouverais un jour là où ils sont, sereins et en paix.

  • marie claire escassut née bonpunt

    18 octobre 2014

    Je pense beaucoup à ces grds parents, arrières gds parents, tantes et oncles que je n’aies pas connus. Je vais preier sur leurs tombes trés souvent, et je regrette profondèment de ne pas les avoir connus, et de ne posseder qu’une photo de mon gd père. Ce sont mes anc_tres et je les aime.Marie claire

  • marie claire escassut née bonpunt

    18 octobre 2014

    J’aime beaucoup mes ancetres. N’ayant que peu de choses sur eux.

  • Georges Vrambout

    21 octobre 2014

    Merci à tous mes ancêtres , que je recherche avec passion, et sans qui je ne serais pas.
    Découvrir leur existence est émouvant.
    J’ espère que je les retrouverai un jour.

  • DESSAMBRE MARC

    21 octobre 2014

    A mon Amour Ma Geo

  • baussart-courtine séverine

    21 octobre 2014

    Toussaint ou pas, je me rends régulièrement sur les tombes de mes aieuls, dans le village familial ou j’ai gardé la Maison qui est dans la famille depuis plusieurs génération.
    Car c’est grâce à eux que je suis ce que je suis, et que je peux transmettre à nos descendants des tas d’histoires et d’anecdotes qui font qu’ils seront toujours là.
    Ils me manquent de temps, que se soit mes parents, grands-parents et ceux d’avant ainsi que les différents branches de notre Arbre car à force de nous avoir transmis tant d’histoires, j’ai l’impression de connaître chacun d’eux sans pour autant les avoir croisés de leur vivants

  • Albouy Guy-Noël

    21 octobre 2014

    Comme je le fais chaque année depuis 1971, année de notre mariage avec ma chère épouse, je vais me recueillir sur la tombe de sa famille en pensant intensément à ceux que nous avons dû laisser là-bas sur notre terre d’Algérie. Et toutes celles et ceux qui sont décédés aux quatre coins de France où nous avons étés dispersés comme un million de Pieds-Noirs en 1962.

  • Christiane

    21 octobre 2014

    Oui la Toussaint est une date de recueillements , mais pour moi c’est plus souvent et sans occasion précise , mes parents , mes grands-parents , ma toute petite fille que mes enfants ont perdue alors qu’elle avait 4 mois et 9 jours , des ami(e) , je me rends souvent au cimetière pour leur parler , leur dire les évenements importants où moins , je veux qu’ils sache ce qui est dans notre vie , maintenant qu’ils ne peuvent plus participer . Leurs présences me manquent , le son de leurs voix , leurs odeurs , tous les bons et les moins bons moments qui ont été notre vie , avec eux . Ma vie familiale n’a pas toujours été super , mais en prenant de l’âge et avec le vécu , les choses sont différentes . On ne partage pas assez avec les vivants et quand nous regrettons c’est qu’il est trop tard . J’ai eu la chance de pouvoir partager quelques années avec Maman et , j’ai dit les mots que je n’ai pas dit forcement assez souvent a mes cher(es) disparus . mais ni le temps , ni l’espace , ne me fera les oublier , ils sont avec moi , en moi , et si je ne suis pas très croyante , j’espère que peut être on se retrouvera un jour , car passer les fêtes , les anniversaires et toutes les choses de la vie , est une plaie qui ne se cicatrise pas , c’est très dur sans eux

  • GAIDON EVELYNE

    21 octobre 2014

    Depuis une année, où tu es parti, mon cher époux, il ne s’ est pas passé un jour où je n’ ai pensé à toi. Tu as illuminé ma vie, pendant 43 ans, avec nos chères filles et petites – filles. Protège nous , de là où tu te trouves.Nous t’aimons très fort.

  • cathala

    21 octobre 2014

    j’étudie le génogramme de mes ancêtres, et c’est incroyable comment en fonction des âges, et des maladies comme tout se répète systématiquement.Il est possible d’arrêter ce systéme c’est pour cela que j’y travaille.

  • Malaury

    21 octobre 2014

    Toi que je n’ai pas connue

    Sur l’arbre des ancêtres, ta photo est placée.
    Je ne t’ai pas connue, mais je porte ton nom, Grand-mère.
    On m’a parlée de toi, ton rire et ta gaieté.
    A peine vingt cinq ans, tu quittas cette terre.

    Les anciens du village m’ont encore parlé
    De toutes les chansons que tu chantais souvent.
    Et l’on m’a dit aussi comme t’aimais danser.
    Que tu manquas beaucoup à tes pauvres enfants.

    Je n’ai qu’une photo pour un peu te connaître.
    J’aurai pourtant aimé d’être un peu dans tes bras.
    Je t’écris quelques mots pour te faire renaître.
    Le temps d’une pensée et tu est là pour moi.

  • Liliane Lambert

    21 octobre 2014

    Cordialement à la descendance d’Hercule Lambert et Thaddéa Lavoie, rendons hommage et reconnaissance à nos ancêtres pour l’héritage qu’ils nous ont légué. De là-haut, ils doivent certainement s’unir à nous. Soyons fiers de marcher sur la route qu’ils nous ont tracée, parfois dans la peine, parfois dans la joie.

    La terre du grand rang sud à Albanel était à l’origine une terre en bois de bout, elle a été défrichée, labourée, travaillée par nos prédécesseurs. Cette terre a permis à notre arbre familial de grandir, d’étendre majestueusement ses branches au fil des ans, terre où ils ont trouvé l’amour des belles familles, du travail et du devoir accompli, le courage de supporter les épreuves et les difficultés de la vie, s’abandonnant à la Divine Providence. Ils y ont trouvé aussi le secret du bonheur dans le repos, par des réunions familiales où ils savaient s’amuser autour d’une table où les rires fusaient. C’est s’en doute lors de ces réunions que nos parents ont pris goût à certains rassemblements. Gardons ces liens tissés serrés, ils sont le lien qui nous unit.

    Ce que nous sommes aujourd’hui, c’est à eux que nous le devons. Oui nous le devons à ceux qui nous ont bercé sur leurs genoux et qui nous ont légué leur courage, leur ténacité, leur esprit familial et religieux. Rendons hommage à nos parents respectifs pour ce don d’amour et d’accueil. Leur histoire d’amour et de force, ils l’ont écrit jour après jour dans le quotidien de la vie. Ils l’ont fait sans jamais compter les heures de dur labeur. À jamais ils resteront dans notre mémoire et dans notre cœur.

  • Degironde Jacqueline (née Angeneau)

    21 octobre 2014

    Merci à mes Parents de m’avoir élevée et aidée, du 31/10/36 à 24/12/2008, date du décès de Maman. Nous n’avons pas pu parler !!! J’avais parlé avec Papa. Je lui ai parlé de son Père que je n’ai pas connu. Dommage. Je ne sais pas où repose Annette, ma grand-Mère, morte de la tuberculose en 1925. Jdegironde.

  • Christiane Marmoud

    21 octobre 2014

    Il n’y a pas un jour que je ne penses à mes chers défunts. J’ai eu la chance de tous les connaître à part bien sur mes arrières Grands-Parents qui eux étaient partis trop jeunes tout comme ma famille. Il n’y a pas de tombe mais cela ne m’empêche pas de prier.

  • Nicole

    21 octobre 2014

    à mon fils

    Mon grand tu es parti trop tôt,
    Même pas le temps de te dire au revoir, tu laisses un très grand vide dans mon cœur, dans notre vie,
    Est-ce juste de perdre son enfant ? en tous cas ce n’est pas dans l’ordre des choses…
    Tu avais encore tant à faire dans ta vie, tu n’as même pas eu le temps de nous donner la joie d’être grands-parents,
    J’imagine qu’un jour on se retrouvera, en attendant je sais que tu es là, tu veilles sur nous, sur tes frères .Nous t’aimerons toujours.

    Je ne te dirais pas adieu mon fils, mais au revoir.

  • Stéphanie

    21 octobre 2014

    Cette année pour la 1ère fois la Toussaint va me toucher de trop près.
    Ma Maman chérie est partie cette année, la veille de la fête des Mères.

    Après 4 années de combat contre la maladie, elle méritait bien de se reposer.
    C’est un déchirement chaque matin de se réveiller et d’affronter pour une nouvelle journée son absence.

    Actuellement je survie et je garde la tête haute pour mes enfants, mon mari, ma sœur et surtout mon papa qui se retrouve seul.

    Mais au fond de moi j’entends hurler la petite fille que j’étais et qui réclame sa Maman.

  • Marguerite Picard

    21 octobre 2014

    Je veux rendre hommage à Claude, mon mari, parti vers Dieu, le 24 février de cette année, mais aussi, à Guillaume, notre petit-fils, décédé le 17 mai, de cette année, également. C’était deux rudes épreuves, mais je sais qu’ils sont tellement bien, Là-Haut. Ils ont été rejoindre mon frère Marcel, parti il y a 5 ans, ainsi que leurs parents. Mais nous nous reverrons un jour !

  • Christine BOTTON

    21 octobre 2014

    Je pense qu’on peut garder nos ancêtres dans nos coeurs, sans avoir l’obligation d’aller au cimetière ou à cette période de la Toussaint. Christine

  • Wénin Cathy

    21 octobre 2014

    A mon cher papy, il y a déjà 26 ans que tu nous as quittés , tu me manques toujours, et souvent je me pose la question qu’aurais été ma vie en t’ayant à mes côtés dans les moments durs, sûrement moins douloureux devant certaines épreuves car j’aurais eu ton épaule pour me soulager, hélas tu n’as pas connu non plus les événements heureux comme le mariage de ta petite fille et des petits bonheurs à partager avec ta famille. Tu es logé dans mon coeur et tu n’en déménageras jamais.
    Pour toi mamy aussi, déjà 6 ans que tu nous as quittés et sans un bruit , sans pouvoir te dire au revoir , tu t’es envolée rejoindre papy, je sais que vous veillez tous les 2 sur ma petite famille , et que tu es entourée d’une multitude de chats et assise à côté de St François D’Assise , le patron des animaux . Je vous aime tous les deux .

  • Lyne Breard

    21 octobre 2014

    Chez nous, nos parents nous ont appris que les grands-parents étaient importants. Nous devions, étans jeunes les suivrent à tous les weekends pour voir grand-maman d’un côté et grand-papa et grand-maman de l’autre. À l’adolescence on avait moins le goût de suivre mais nous le faisions malgré tout pour faire plaisir aux parents. Toute ma jeunesse je savais qu’il manquait un morceau mais je n’avais jamais de réponse, sujet tabou ! Adulte je me suis décidée à trouver mon morceau manquant, grand-papa du côté de maman. Mon souhait fut comblé mais avec une grande peine, je l’avais manqué de peu car il était décédé 2 ans avant. J’ai donc appris à le connaitre à travers les souvenirs de quelqu’un d’autre mais même dans la mort je suis certaine qu’il sait que je l’ai trouvé et que je pense à lui et peut-être aussi à ce que nous avons manqué ensemble. Sa vie aurait-elle été plus heureuse si nous avions eu la chance de nous connaitre, peut-être que oui ou peut-être que non mais je suis certaine d’une chose, la mort ne nous empêche en rien d’oublier quelqu’un ! Mes grands-parents me manquent, je pense à eux très souvent, ce que chacun d’eux avait de bon pour moi, ce que j’aurais aimé avoir avec eux et ce que je n’ai pas eu comme enfant car les relations familliales ne sont pas toujours comme nous le souhaitons. Enfant nous avons des idéaux et que lorsqu’adulte on comprend que nous le rechercherons toujours car nous n’avons pas eu ce que nous attendions. Je me souviens du jour de l’enterrement de mon grand-père, j’ai tellement pleuré ! pas sur ce que j’avais perdu mais sur ce que j’attendais et que je n’avais pas eu mais je l’aimais pour ce celui qu’il était. J’ai développé avec ma grand-mère dans les derniers mois de sa vie un lien très intime que je n’avais jamais eu avec elle et croyez moi cela a récompensé mon attente. Aujourd’hui je sais qu’elle est avec moi tous les jours! L’absence physique de la personne fait mal mais je crois qu’à travers la mort, elle plus proche que jamais. Merci grand-père Xavier, grand-mère Annette, grand-mère Claire, Mimmi, pépère et toi à qui nous n’avons jamais dit grand-père. Attendez nous, nous nous reverrons un jour et je sais que vous nous trouverez où que nous soyons là-haut. Que vos âmes reposent en paix et soyez certain de notre amour malgré la distance, Lyne xx

  • DELORY Alain

    21 octobre 2014

    C’est à l’un de mes bisaïeux maternels, Alphonse SCHALCKENS, tué à l’ennemi en 1916 à Sailly Saillisel que je pense ici.
    Il est mort le 1er novembre 1916 et ce jour là, sa fille, ma grand-mère, fêtait ses 9 ans.
    Je ne l’ai bien sur pas connu, mais je me suis attaché à lui. Ma grand-mère maternelle m’avait remis, lorsque j’étais enfant, des médailles militaires, un cadre, divers documents jaunis.
    Au fil du temps, j’ai découvert combien tout ce qui m’avait été donné revêtait une importance : ils m’ont conduit à la recherche généalogique.
    A la fin des années 1990, une tante m’a remis un carnet de route que mon pépé avait renseigné lorsqu’il était combattant.
    Pendant Plus d’un an (1914/1915), jour après jour, il a écrit son journal.
    Les renseignements sont courts mais ils sont fort émouvants.
    Inhumé dans l’un des 4 carrés militaires de la nécropole nationale de Rancourt (80), il n’avait malheureusement pas une tombe au dessus de laquelle aurait pu figurer son nom : il était resté anonyme… Mais plus de 80 ans après, j’ai fait graver un ex-voto dans la chapelle avec le concours du Souvenir Français.
    Le site internet que je lui ai consacré me permet modestement de rendre hommage à ce héros parmi les héros

  • nonna

    21 octobre 2014

    Mais quoi?Il n’est secours qui ne vienne des racines.
    Et les miennes ou’ sont-elles?

    Jean Senac »les désordres »

  • DESSAMBRE MARC

    21 octobre 2014

    Et pourquoi ?

  • Gisèle O’Neill

    21 octobre 2014

    J’admire profondément mes ancêtres pour leur courage devant la vie: pertes d’enfants en bas âge, veuvages trop tôt, et surtout dans le cas de mes arrière-grand-parents le cran qu’il leur a fallu pour tout laisser derrière eux et traverser l’océan pour s’établir (avec 8 enfants) aux États-Unis en 1905, travailler dans les mines tout en s’occupant d’une ferme, peu de confort, peu de soins médicaux, et j’en passe. C’est grâce à vous tous si nous sommes devenus aujourd’hui ce que nous sommes. Gisèle

  • Cécile Vergne

    21 octobre 2014

    Quand ma belle maman a su que je réalisais l’arbre généalogique familiale, elle m’a parlé de sa grande tante Marie et a souhaité que je retrace sa vie.
    Ma belle mère parlait de cette femme avec admiration et je comprend aujourd’hui pourquoi.
    J’ai fait les recherches…
    Marie Chazot est née en 1871 dans le Puy de Dôme, à Rochefort-Montagne. Elle est entrée en noviciat au sein de la congrégation du Bon Pasteur et est devenue la Mère Marie du Sacré Cœur. Elle fut enseignante et termina sa carrière comme directrice de l’école Saint Louis à Randan. Une école de jeunes filles, durant l’occupation allemande. Elle fit preuve de beaucoup de courage en cette période tourmentée.
    Elle n’a pas hésité à recueillir des jeunes filles juives et prenait la remorque pour aller chercher des patates, de la charcuterie, sous le nez des allemands qui fermaient les yeux.
    Très pieuse, elle priait la Vierge Noire D’orcival dont il y avait une statut dans la chapelle de l’école.
    Lors de mes recherches j’ai contacté la mairie de Randan.
    Qu’elle ne fut pas surprise lorsque j’ai reçu une réponse de cette mairie. Une charmante dame (MMe Kromer) avait pris le temps d’enquêter sur Mère Marie qu’elle avait connue. Elle a retrouvée d’anciennes élèves et elle m’appris que toutes ont été très émues à l’évocation de la religieuse. Nombreuses sont ces élèves a garder précieusement dans leur bible, une carte de prière imprimée à l’occasion du décès de Mère Marie en 1947. Elles m’ont fait passer une carte et des photos de classes. Et puis après cela, c’est toute la commune qui s’est mobilisée afin d’en apprendre encore plus sur les activités de Mère Marie durant la guerre, afin de peut être lui donner le rend de Juste. Le 1er novembre prochain nous nous rendrons en famille sur la tombe de Mère Marie; nous nous rendrons à la messe avec ses anciennes élèves et l’ancienne école, l’ancienne chapelle nous seront exceptionnellement ouvertes.
    Ce sera indéniablement un grand moment, chargé d’émotions.
    ça fait vraiment chaud au cœur cette mobilisation autour de cette courageuse femme décédée pourtant il y a 67 ans! Je suis heureuse d’avoir pu au travers de mes recherches, faire revivre son souvenir et d’avoir fait sa connaissance.

  • Bernard Campan

    21 octobre 2014

    Je porte en permanence dans mon coeur et dans ma mémoire le souvenir de mes chers parents à qui je dois d’être l’homme accompli que je suis devenu.
    Cependant, je souhaite en ce jour rendre hommage à mon camarade le Sous-Lieutenant Jean-Bernard Guillamet, natif de Villerouge-Termenès, petit village des Hautes Corbières situé à 30 kms au sud de Puichéric, mort à 24 ans au service de la Nation dans l’accident aérien du 30 juillet 1971 qui a fauché 23 sous-lieutenants de la promotion Général Koenig de l’École Militaire Inter Armes de Coëtquidan. Ils étaient venus à Pau sur leur temps de permission pour y effectuer un saut en parachute.
    Je l’avais connu au début de notre engagement alors que nous étions tous deux en garnison à Toulon et si nos chemins s’étaient depuis séparés, j’avais gardé le souvenir de son accent chantant du Sud-Ouest, de son humeur toujours égale et de son amitié jamais démentie durant les deux années que nous avions passées ensemble.
    Je n’ai appris que l’année dernière, en naviguant au hasard sur la Toile, la date et les circonstances de sa disparition. Les mots sont impuissants pour décrire l’émotion que l’on peut éprouver d’apprendre subitement la mort tragique d’un ami plus de quarante ans après l’évènement, alors que l’on a fait sa vie et que l’on est devenu soi-même père et grand-père de deux petits-fils bientôt en âge de porter les armes au service de leur pays.
    Repose en paix, Jean-Bernard, tu seras toujours dans mon coeur, au côté de mes parents…

  • MG

    Marie-Thérèse Gruchala Maton

    21 octobre 2014

    Pour ma part, j’ai repris depuis quelques années le nettoyage des tombes que mes parents ne pouvaient plus assumer, alors qu’ avant je n’ aimais pas entrer seule dans un cimetière ….Puis un petit bonhomme de 7 ans s’ en est allé avec une partie de mon coeur, puis mon papa nous a quittés un jour de Noël…Désormais je vais leur dire BONJOUR car ils continuent à faire partis de ma vie, ils sont entourés d’ autres personnes regrettées et je les aiment de ton mon coeur

  • Sylvie Liegeois-Hachez

    21 octobre 2014

    Je n’attends pas le 1er ou le 2 novembre pour me rendre aux différent cimetières pour rendre hommage soit à mon petit papa et ma petite maman qui me manque beaucoup, soit mes beaux parent que je n’est jamais connu. Je travers la ville je vais rendre hommage a une tante et un oncle, et aux parents de celle- ci . Puis dans l’année je traverse le Belgique pour rendre hommage aux grands-parents, arrière -grands-parents maternel ,à un grand oncle mort pour la patrie et son épouse, ainsi que leur petite fille. Ainsi que d’autres tombes dans ce cimetière de grandes tantes et grands -oncles. Dans la Régions Liégeoise c’est mes grands-parents paternel. Il n’y a pas un jour ou une prière est dite pour eux, une pensée, la visite aux différents cimetières pour moi c’est un but de promenade et aussi de souvenirs , mais je me répète : je n’attend le mois de novembre .

  • HERNANDEZ Catherine

    21 octobre 2014

    Maman, un jour tu es partie et je pensais que tu allais revenir, chaque jour j’y croyais et chaque jour tu ne revenais pas, un coup de sonnette et l’espoir était là et puis à l’âge de 14 ANS j’ai découvert que si tu étais partie c’est parce que tu nous avais quittés pour un autre monde, là haut dans le ciel; tu me manques terriblement même si aujourd’hui j’ai 62ans personne ne peux remplacer l’amour d’une mère et sa tendresse. Heureusement je sais que tu es malgré tout à mes côtés et lorsque je te rends visite là bas au centre de la France dans le petit cimetière c’est pour te montrer que jamais je ne t’oublierai et tant que je le pourrai je prendrai soin de ta dernière demeure. Catherine

  • Dryon Jacques

    22 octobre 2014

    Je pense tout particulierem a Geneviève ou Ginette mon épouse qui repose auprès de notre fils Philippe et de mes autres parents .Bientot je viendrais te retrouver tu me manques énormément

  • Gérard Laperrière

    22 octobre 2014

    Emile Gosselin, barbier et comédien des années 30 et, mon grand-père maternel qui me hante toujours par l’héritage qu’il a laissé. Un héritage de joie, de bonheur, de musique, il avait toujours la bonne histoire à raconter. Barbier pour subvenir aux besoins de sa famille et comédien pour rendre heureux son auditoire à une époque où il y avait peu d’occasion de se distraire et s’amuser.
    Encore aujourd’hui mes recherches à son sujet me transportent d’enthousiasme quand je fais de nouvelles découvertes à son sujet.
    Sans être nostalgique il m’est toujours agréable de me plonger dans l’histoire de mes encètres et si il en est un qui m’y a encouragé par son attitude de comédien folkloriste, c’est bien lui.
    « Chapeau » grand-père et merci à celui qu’on surnommait le Figaro de Côte-St-Paul.

  • Lise Dubuc

    22 octobre 2014

    À mes parents merci de m’avoir donnée la vie j’espère de tous mon cœur de vous revoir un jour quand mon tour sera venu de quitter cette terre pour un monde meilleur et de revoir tous ceux que j’ai aimés je pense à vous très souvent je prie pour Vous je vous aime . Merci mon Dieu de veiller sur eux.

  • Jean-Claude

    22 octobre 2014

    Au mois de Septembre cette année je suis allé en province marcher dans les pas de mon grand-père paternel et ma grand-mère maternelle en visitant les 2 villages où ils sont nés et ont passés leur enfance. Une émotion m’a traversé le corps à chaque fois en voyant les lieux où ils ont vécus surtout pour mon GP paternel que mon père et moi n’avons jamais connu car mort à la guerre 14/18.

  • Mukampabuka Clémentine

    22 octobre 2014

    Papa chéri; ta disparution t’a rendu plus vivant, plus présent dans ma vie et dans celle de tous les tiens. Ton absence physique nous a révélé qui tu étais vraiment pour nous; maman et mes soeurs et frères: un trésor! le 6 juillet 1994, juste avant le repas de midi, tu partis pour voir qui marchait dans la bananeraie en bas de la demeure familiale. Tes bourreaux t’y attendaient. Tu n’es plus revenu. Maman et les enfants ont en vain attendu ton retour pour commencer à manger… le repas a eu le temps de refroidir, maman a eu le temps de descendre à la bananeraie t’y chercher, les enfants ont vécu l’angoisse du doute et d’une attente infinie. Nous t’attendrons toujours , nous t’entendrons vivre tes valeurs avec nous et en nous à jamais. La vie que tu nous as transmise nous la perpétrons. Ainsi tu restes vivant à jamais. Faute de tombe tu es notre mémoire vivante. Toutes les générations apprendront quelque chose de toi nous te le promettons. Merci papa.

  • ZACCARIA

    22 octobre 2014

    Parce qu’un homme sans ancêtres est un ruisseau sans source, un arbre sans racine. Je rends hommage à mon grand-père paternel, car grâce à lui , je me sens reliée à mon arbre de vie.

  • YAO N’goran

    22 octobre 2014

    La toussaint me fait toujours revivre et resentir le grand amour avec lequel Papa et Maman m’ont entouré depuis mon enfance jusqu’au moment de leur départ dans l’au delà. Ils m’ont toujours dit si les morts sont réellement toujours parmis nous quand nous ne serons plus ll m’aideront toujours. Il ne sont plus là mais jusqu’aujourdhui tout se passe comme s’ils sont encore là. Je leur en suis infiniment reconnaissant et j’espère pouvoir en faire autant pour mes enfants.

  • Michèle RIBLIER

    22 octobre 2014

    Je rends hommage à tous les défunts de ma famille.Je pense en particulier à JEAN MARIE ROURRE ,mon grand père paternel mort à 22 ans en 1914 .Je pense à ANDRE ROURRE mon père mort à 39 ans .JE pense à HENRI RIBLIER mon mari mort à 69 ans du cancer de l’amiante. Je pense à mon petit fils AURELIEN et à mes arrières petits enfants ELOWAN NOLAN ANNAELLE Que tous reposent en PAIX et ne tombent jamais dans l’oubli

  • gerini Virginie

    23 octobre 2014

    A mon maris. Que dire sinon qu’il me manque de plus en plus, même après neufs ans et que malgré tout ce temps je le sent toujours près de moi.
    Et pour mers parents, mon frère et grand parents je ressens le même chose. Et espère qu’ils pensent tous à moi aussi où ils soient.

  • Diane Meunier

    23 octobre 2014

    A qui rendre hommage si ce n`est qu`à mes parents! Maman tu est partie la première et j`ai eu beaucoup de mal à accepter, mais je n`avais pas fait mon deuil de toi que papa est parti te rejoindre 3 mois plus tard; le choc a été dévastateur si bien que même si ça fait fait déjà 10 ans que vous êtes partis, bien ça fait aussi mal que comme si c`était hier. Je n`ait pas eu le temps de vous rendre tout ce que vous avez fait pour moi et j`espère vraiment qu`il y a une vie après la mort et qu`on se retrouvent tous ensemble au paradis. Je vous aimes et ne vous oublieraient jamais !!

  • jeanne

    24 octobre 2014

    à tout mes Ancêtres , j’y pense avec respect , remontant jusqu’en 1680 , le plus ancien , sans lui je ne serais pas de ce monde,8 ième génération ,
    à mes ,grands parents , qui avec les années 14 – 18 ont souffert de cette guerre ,la souffrance qu’a endurer ma grand mère devant fuir d’Alost avec ses trois enfants en bas âges , à pied et arrivée à Bruxelles à été rejetée par le frère de mon grand père , elle à été receuillie par le meilleur amis de mon , grand père prisonnier à Soltau ,et quand il est revenus malgré sa sévérité n’a plus jamais perdus cette tristesse dans ses yeux , je n’aurais jamais assez de temps pour lui rendre l’hommage qu’il mérite , ainsi qu’a ma grand mère qui malgré la dureté de la vie nous à donné tout l’amour qu’elle possédait et nous à apprit le respect , je les gardent tous dans mon cœur , quand à mes parents merci de m’avoir mis au monde , de m’avoir donné frères et sœur , le départ de mon plus jeune frère est toujours pénible a supporté , mais sont caractère toujours joyeux , je ne peut pensé à lui qu’avec AMOUR et sourire , je vous garde tous bien présent dans mon coeur

  • MICHEL PASCALE

    24 octobre 2014

    Ma plus belle histoire d’amour c’est toi…
    Tu étais ma grand mère, ma mère, mon amie… Tout, pour moi
    Ta grande famille : 4 enfants, 3 neveux et nièces que tu as élevé et leurs enfants, 8 petites filles, 4 arrières petites filles, t’avait attribué de nombreux surnoms : Grouma,Mamie Nova, Mamie Java, Petite mère, Tata-mémère,
    Tu as remplacé notre mère partie trop tôt…
    Je t’aimais, je t’admirais, je te respectais… Tu étais si belle, si courageuse et si entêtée…
    Je te croyais éternelle car je ne t’ai pas vu vieillir…
    Une maladie subite t’a emportée à 94 ans…tu as rejoins tes enfants partis avant toi
    Mais je sais que tu n’es pas loin… Tu veilles sur nous comme tu l’as toujours fait…
    Je te salue chaque jour et je te parle
    Dans mon cœur et dans mon âme, tu es toujours là et ça me rassure.
    JE T AIME ET JE PENSE A TOI MA PETITE GROUMA

  • RUMBACH-NORMAND

    27 octobre 2014

    Vous tous qui avez participé à faire de nous, ce que nous sommes,
    Je vous ai cherché sur tous les chemins, dans tous les recoins de la plus profonde des vallée, et sur les plus hauts des monts. Seuls me reste des objets , des vêtures, que mon espace de plus en plus réduit m’amène à me séparer, celui qui reste, me rappel que vous fûtes ! Mais là où chaque instants vous vivez le plus ardemment, c’est en moi dans mes cellules et mes neurones , là, vous ne pouvez être plus proche puisque vous êtes une partie de MOI! reposez en Paix, vous vivez, tant que je suis !

  • St-Amour

    31 octobre 2014

    MERCI À MES ANCÊTRES

    Je mets toute mon énergie et mon amour à rechercher leur histoire et leur existence depuis 1641, le premier de mes ancêtres arrivé en Nouvelle-France.

    Mes ancêtres ont fait preuve de beaucoup de courage pour affronter plusieurs épreuves:
    1. Prendre le bateau, pas toujours sécuritaire, pour se rendre au Québec (Nouvelle-France);
    2. Subir le froid et la famine;
    3. Se battre pour conserver leur lopin de terre;
    4. Survivre malgré la maladie et le décès des proches.

    Oh! Ils ont toute mon admiration. Jamais je ne les oublierai et leur histoire sera à jamais reconnu puisque mes recherches seront léguées à mes descendants

  • joanne verreault

    2 novembre 2014

    Je suis avec eux presque tous les jours, je parle de mes parents et de mon frère décédés jeune. Mes grands parents et arrières je ne les connais pas sauf par littérature car j’ai un livre commémorant une certaine descendance avec photos. Les autres sont de France et quand je serai plus libre je ferai des recherches plus intensives

  • E

    Elisabeth

    3 novembre 2014

    Merci à tous pour avoir participé à ce concours ! Félicitations à Pascale Michel, l’heureuse gagnante qui remporte un abonnement annuel PremiumPlus

  • Caddie Chemla

    11 septembre 2015

    Hommage aux disparus de Mourmelon :