Je suis originaire des antilles française et de ce coté bien moins de problème pour retracer les femme. En effet hormis les colons et certains libres (esclave libre de couleur) les mariages n’étaient pas possible chez les esclaves et donc bien souvant seule la mère déclarée un nouveau né. Il y avait parfois plus tard reconnaissance par le père (d’ailleur bien souvent l’un des témoin lors de la déclaration de naissance etait le père) mais cel arrivé entre 2 et 10 ans après ou au moment du mariage si tel etait le cas et donc bien des enfants morts en bas ages ne portaient que le nom de la mère. Ce n’est qu’au début du siecle passé que les mariage ceux sont généralisés mais cette « tradition » de vivre en concubinage demeure forte avec ou pas reconnaissance par le père.
Comme quoi même dans le même empire il y avait des différences sensibles.
Madina Touré
23 août 2012
C’est quelque chose que j’avais remarqué dans mes recherches et qui n’a jamais cessé de me triturer les méninges. Comment en Afrique où je vis, là où les femmes sont censées être les gardiennes de la tradition, les femmes sont-elles négligées dans la généalogie? Peut-on délibérément transmettre le savoir en occultant sa propre part? Certes, nos sociétés sont pour la plupart patrilinéaires, mais, s’il revient à la femme la fonction principale de gardienne, peut-on lui imposer de se soustraire à cette mémoire?
Comment dans les sociétés occidentales les femmes se sont-elles fait oubliées dans la généalogie?
En unissant nos réflexions, pourrons peut-être remédier à ce manquement